La plus importante de ces obligations, c'est de faire bouillir la marmite...d'autant plus quand on est installé dans un petit village au fin fond de la campagne, parce que "petit village" cela signifie petite clientèle (en volume d'affaire). Si je veux préserver mon mode de vie (grande maison, joli cadre de vie et chouettes rapports avec mes clients locaux) je dois diversifier mes spots de ventes.
Du coup, je commence à faire les marchés (la vente foraine je connais bien, depuis que je suis brocanteuse) avec un stand plus petit que d'habitude (moins lourd, donc moins fatiguant).
Le premier a eut lieu à Moulins-Engilbert le 1er Mai, je vous passe la préparation du matos: c'est toujours la même chose (mise en caisses de la marchandise, chargement de la voiture...la routine).
Pour moi, la grande différence c'est le rythme: on déballe plus tard (8h du mat'...horaire de sénateur!) et la durée de vente est plus courte (fin du marché au son du clocher: 12h).
Un petit aperçu en images
 |
| 7h30...elle est où, la placière? |
 |
| 8h30: le stand est monté |
 |
| vue depuis les coulisses! |
La chance des débutants: après des semaines de météo toute pourrite (je sais, c'est pas français, mais je trouve que c'est bien descriptif!), nous avons droit au soleil!
12h45: tout est remballé, c'est le temps du bilan...Pas fulgurant du point de vue financier, ce marché est néanmoins bien fréquenté, je vais pouvoir affiner ma proposition commerciale et le contact avec la clientèle est toujours aussi plaisant...Affaire à suivre!
Comme la famille ne recule devant aucune promenade, après le retour du marché on casse une petite croûte, on met les bagages dans la voiture (sans oublier les juniors de Sista!) et on reprend la route, direction la capitale: c'est l'anniversaire de la Princesse Panda (18 ans, déjà!). Je vous montrerais ce que je lui ai préparé dans le billet suivant...
A+
Aucun commentaire :
Enregistrer un commentaire